L'Inde
PRITHIVI et DYAUS PITAR . DYAUS PITAR le Ciel-Père qui remonte aux temps indo-européens et s'identifie au ZEUS grec et au JUPITER latin, est lié à PRITHIVI, la Terre-Mère et cette dualité s'exprime par le nom composé Dyava-Prithivi, qui désigne les parents universels des dieux et de l'humanité. Bien que DYAUS PITAR se soit graduellement retiré au second plan mythologique, lui et son épouse continuèrent de figurer dans les Veda comme les procréateurs des dieux et comme le Père bienfaisant et la Mère puissante de toutes les créatures. DYAUS PITAR était figuré par un taureau puissant qui féconde la Terre (PRITHIVI), se conformant aux idées habituelles dans l'Orient antique concernant les dieux et les déesses. Il est assez probable qu'INDRA finit par figurer dans la tradition comme la plus ancienne divinité indo-européenne, s'annexant les caractéristiques de DYAUS PITAR, alors que son épouse PRITHIVI gardait bon nombre des attributs de la Terre-Mère, ce fut du reste elle, plutôt que son époux, qui fut l'objet principal de la dévotion populaire.
* DEVI, la déesse aux mille noms. Principe féminin par excellence, déesse-mère aux origines immémoriales, shakti (énergie, parèdre) du " grand dieu " SHIVA MAHESHVARA, DEVI " la déesse ", ou MAHADEVI, " grande déesse ", réunit toutes les caractéristiques de toutes les déesses du panthéon hindou. Ayant su gagner à nouveau l'amour de SHIVA par une ascèse extrêmement sévère, en ignorant l'apparence repoussante du dieu, elle est devenue MAHAVIDYA, " suprême connaissance " capable d'accomplir avec lui la grande danse cosmique de la libération spirituelle, Urdhva Tandava.
* MAHISHAMARDINI La Grande déesse DEVI.
* DEVI, la déesse aux mille noms. Principe féminin par excellence, déesse-mère aux origines immémoriales, shakti (énergie, parèdre) du " grand dieu " SHIVA MAHESHVARA, DEVI " la déesse ", ou MAHADEVI, " grande déesse ", réunit toutes les caractéristiques de toutes les déesses du panthéon hindou. Ayant su gagner à nouveau l'amour de SHIVA par une ascèse extrêmement sévère, en ignorant l'apparence repoussante du dieu, elle est devenue MAHAVIDYA, " suprême connaissance " capable d'accomplir avec lui la grande danse cosmique de la libération spirituelle, Urdhva Tandava.
* MAHISHAMARDINI La Grande déesse DEVI.
Shiva Shakti
* DURGA, La Grande Déesse DEVI - Divinité féminine hindoue, énergie de SHIVA et de VISHNU conjugués, souvent représentée dans la sculpture de l'Inde combattant un démon empruntant la forme du buffle, symbole de la mort. CHANDÎ, La Grande Déesse DEVI AMBÎKA, La Grande Déesse DEVI, " la bonne mère ".
*UMA, La Grande Déesse DEVI. La Lumière épouse de SHIVA, était à l'origine déesse de la nature et de la fertilité, aussi étrangère que son époux à la tradition védique. Au cours de son évolution, elle devint la contrepartie de SHIVA et l'aspect féminin de la personnalité du dieu. UMA accordait aux femmes de concevoir, et elle présidait à la formation et à la croissance de tous les fruits de la terre. Elle possède également des appellations nombreuses et comme Déesse de la vie et de la mort, elle prend des formes diverse et a des fonctions variées.
* PARVATI, La Grande Déesse DEVI, sait de SHIVA le " Propice " était regardé comme le créateur androgyne qui engendre lui-même sa compagne grâce au côté féminin (sakti) de sa double nature et est généralement personnifié par une épouse, inséparable de l'époux, participant avec lui à la création, faisant subsister ou détruisant le monde phénoménal. Parfois PARVATI est considérée, sous le nom de DEVI comme une divinité suprême. Elle peut prendre une multitude d'aspects, dont les plus connus sont ceux de DURGÂ et de KÂLI. Elle était une déesse-montagne, Fille de l'Himalaya, elle représentait la puissance de la nature.
*KALI, la Noire, forme redoutable de DEVI, destinée à "terrifier la terreur", est généralement représentée jeune, avec des formes très féminine, mais la bouche ouverte parfois munie de canine protubérantes, tirant la langue, les yeux écarquillés, vêtue d'une peau de tigre, parée de guirlandes de crânes et brandissant des armes. En tant que Chamundâ, " celle qui extermina les grands démons Chanda et Munda ", elle apparaît comme une vieille sorcière assoiffée de sang, échevelée, décharnée et revêtue d'une peau d'éléphant. " Ces démons nés du sang de RAKTABÎJA emplissait l'univers tout entier : à ce spectacle, les Dieux furent saisis d'une frayeur extrême. A voir les Dieux, ainsi décontenancés, CHANDIKÂ se mit à rire ; s 'adressant à KÂLÎ, elle lui dit : " CHAMUNDÂ ! ouvre Ta bouche toute grande ! et avale, au plus vite tous ces Asuras, nés du sang qui s'échappe des blessures que Mes armes lui ont porté, avale aussi le sang lui-même au fur et à mesure qu'il coule; parcourt le champ de bataille et dévore tous les démons qui viennent de naître de RAKTABÎJA : ainsi lorsque son sang sera tari, il mourra certainement et plus aucun Asura ne pourra naître en plus de ceux que tu auras dévorés! " (DEVI-MAHATMYA - 8-57/63).
*UMA, La Grande Déesse DEVI. La Lumière épouse de SHIVA, était à l'origine déesse de la nature et de la fertilité, aussi étrangère que son époux à la tradition védique. Au cours de son évolution, elle devint la contrepartie de SHIVA et l'aspect féminin de la personnalité du dieu. UMA accordait aux femmes de concevoir, et elle présidait à la formation et à la croissance de tous les fruits de la terre. Elle possède également des appellations nombreuses et comme Déesse de la vie et de la mort, elle prend des formes diverse et a des fonctions variées.
* PARVATI, La Grande Déesse DEVI, sait de SHIVA le " Propice " était regardé comme le créateur androgyne qui engendre lui-même sa compagne grâce au côté féminin (sakti) de sa double nature et est généralement personnifié par une épouse, inséparable de l'époux, participant avec lui à la création, faisant subsister ou détruisant le monde phénoménal. Parfois PARVATI est considérée, sous le nom de DEVI comme une divinité suprême. Elle peut prendre une multitude d'aspects, dont les plus connus sont ceux de DURGÂ et de KÂLI. Elle était une déesse-montagne, Fille de l'Himalaya, elle représentait la puissance de la nature.
*KALI, la Noire, forme redoutable de DEVI, destinée à "terrifier la terreur", est généralement représentée jeune, avec des formes très féminine, mais la bouche ouverte parfois munie de canine protubérantes, tirant la langue, les yeux écarquillés, vêtue d'une peau de tigre, parée de guirlandes de crânes et brandissant des armes. En tant que Chamundâ, " celle qui extermina les grands démons Chanda et Munda ", elle apparaît comme une vieille sorcière assoiffée de sang, échevelée, décharnée et revêtue d'une peau d'éléphant. " Ces démons nés du sang de RAKTABÎJA emplissait l'univers tout entier : à ce spectacle, les Dieux furent saisis d'une frayeur extrême. A voir les Dieux, ainsi décontenancés, CHANDIKÂ se mit à rire ; s 'adressant à KÂLÎ, elle lui dit : " CHAMUNDÂ ! ouvre Ta bouche toute grande ! et avale, au plus vite tous ces Asuras, nés du sang qui s'échappe des blessures que Mes armes lui ont porté, avale aussi le sang lui-même au fur et à mesure qu'il coule; parcourt le champ de bataille et dévore tous les démons qui viennent de naître de RAKTABÎJA : ainsi lorsque son sang sera tari, il mourra certainement et plus aucun Asura ne pourra naître en plus de ceux que tu auras dévorés! " (DEVI-MAHATMYA - 8-57/63).
Lakshmi
LAKSMI, La Grande Déesse DEVI, Divinité hindoue de la Fortune née de l'Océan et épouse de VISHNU. C'est un aspect de la déesse-mère, appelée aussi SRI (Heureuse). Elle était à l'origine une divinité aryenne, la contrepartie indienne de CERES et par conséquent associé au blé et à la moisson, ainsi qu'à la beauté, au plaisir, à la richesse, au bien-être et à la victoire. Quand, telle APHRODITE, LAKSMI sortit radieuse de l'océan cosmique de lait que les dieux et les démons barattaient, elle fut accueillie par un cœur céleste, et des nymphes dansèrent en son honneur.
*SARASVATI, La Grande Déesse DEVI, épouse de BRAHMA. Divinité féminine des Arts Littéraires, de la Connaissance et de la Parole qu'on invoquait comme une Muse. Elle est appelée " Mère des Veda ", elle était à l'origine déesse des fleuves.
* DRAUPADI, Incarnation de DEVI
*GANGA Déesse fluviale
*YUMANA Déesse fluviale
*SARASVATI, La Grande Déesse DEVI, épouse de BRAHMA. Divinité féminine des Arts Littéraires, de la Connaissance et de la Parole qu'on invoquait comme une Muse. Elle est appelée " Mère des Veda ", elle était à l'origine déesse des fleuves.
* DRAUPADI, Incarnation de DEVI
*GANGA Déesse fluviale
*YUMANA Déesse fluviale
La Chine
KUAN YIN, La bodhisattva fréquemment appelé déesse de la Miséricorde. A l'origine Kuan Yin était le bodhisattva indien Avalokiteshvara, "celui qui écoute les gémissements du monde", il en vint à incarner les vertus maternelles de compassion et devint un bodhisattva féminin. Il lui était attribuer comme pouvoirs quand on l'invoquait, de briser les chaînes de prisonniers, d'éliminer le venin des serpents et d'anhiler la puissance de la foudre. Les mères s'adressait à elle afin d'obtenir des faveurs pour leur enfants. Elle est vénérée dans un grand nombres de pays d'Asie.
NÜ GA, déesse épouse du dieu FU XI, fut particulièrement vénérée comme créatrice et protectrice du peuple originel. TCHANG-NGO n'est pas en chine la personnification de la Lune, mais elle est la divinité qui y habite. Épouse de YI l'archer divin qui débarrassa le ciel des neufs soleils supplémentaires qui allait faire griller la terre et reçut en récompense le philtre d'immortalité, elle but celui-ci pendant l'absence de son mari. Pour fuir sa colère, elle se réfugia dans la Lune où il ne put venir la chercher.
T'IEN-HÊOU-SÎN-MOU Simple jeune fille chinoise de l'île de Mei-Tchéou, d'une grande piété, sauva miraculeusement des tempêtes et des pirates plusieurs marins, en se dédoublant et en leur apparaissant sur les flots. Elle fut vénérée comme Princesse, puis comme Reine-de-la-Faveur-Surnaturelle, et enfin comme Impératrice-du-Ciel d'où elle continue son rôle protecteur.
FONG-P'O-P'O Madame-le-Vent, de Chine, est une vieille femme qui traverse le ciel sur un tigre, tandis qu'une autre vielle, TIEN-MOU, produit les éclairs en maniant des miroirs.
LA DAME MENG en Chine, est plutôt une déesse bienfaisante... Avant de quitter les Enfers pour passer dans la Roue de la Transmigration, les âmes des défunts s'arrêtèrent dans sa petite maison et boivent le bouillon de l'oubli qu'elle leur a préparé
Le Tibet
TARA
Symbolisme de Tara Verte
Sa couleur verte est celle de l'activité éveillée, de la compassion agissante. Le vert indique que Tara agit pour le bien de ceux qui la prient avec la rapidité due vent. La jambe repliée, représente la renoncement aux passions, la jambe droite à demi dépliée, montre que Tara est prête à se lever pour aller secourir les êtres... De la maindroite elle fait le moudra du don, signifiant qu'elle accorde les accomplissements ordinaires (les pouvoirs supra normaux) et sublime (la réalisation de la nature de l'esprit). Sa main gauche accomplit le moudra du refuge : son pouce et son annulaire se touchent pour symboliser l'union des moyens habiles et de la connaissance; ses trois autres doigts sont dressés et représente les Trois Joyaux : le Bouddha, le dharma et la sangha. Les lotus dont elle tient les tiges dans les mains indique que toutes les qualités de la réalisation se sont pleinement épanouies en elle. Son charme et sa beauté révèlent qu'elle est la mère de tous les bouddhas et possède une compassion ininterrompus pour tous les êtres. Les ornements (soieries et joyaux) qu'elle porte témoignent de sa maîtrise des qualités et des actes. Par son dos droit, elle montre que sa méditation est semblable au diamant qui ne vacille jamais. La lune derrière elle symbolise la plénitude de la félicité inépuisable. Il est dit traditionnellement que Tara protège contre les huit grandes peurs, ou huit grands dangers : les éléphants, les lions, les serpents, le feu, l'eau, les voleurs, les fers (l'emprisonnement) et les démons.... Les huit grandes peurs connaissent une autre interprétations. Si dans le premier cas, elles se réfèrent à des dangers survenant physiquement dans notre existence, dans le second cas, elles désignent les facteurs perturbateurs de notre esprit, qui constituent un danger majeur dans la mesure où, nous conduisant à accomplir des actes négatifs, ils sont la cause, par le résultat karmique de ces actes, de toutes nos souffrances à venir.
Source "Tara - Le Divin au féminin" Bokar Rimpotché - Edition Claire Lumière
Tara Blanche (Sanskrit : Sitatara; Tibétain : Dölma Dolkar) est une des déités le plus plus populaires au Tibet. Associée à la longévité, elle incarne l'aspect féminin de la compassion de tous les Bouddhas. Tara Blanche serait, selon la tradition Tibétaine, née d'une fleur de Lotus provenant d'une larme versée par Avalokiteshvara (Tibétain : Chenrezig), le Bodhisattva de la Grande Compassion, dont elle serait une émanation. Le nom de "Tara" signifie "Etoile", qui est interprété comme "celle qui aide à traverser l'océan du Samsara", la salvatrice, la libératrice. Tara vole au secours de tous ceux qui l'invoquent dans l'adversité et la détresse. Il existe 21 formes principales de Tara qui se distinguent par la couleur, la posture et les attributs que chaque tara porte dans ses mains. Tara Verte serait la Tara originelle d'où proviendraient toutes les autres, dont Tara Blanche.
Tara Blanche est invoquée pour obtenir une longue vie et accroître ses mérites et sa sagesse. On la représente assise dans la posture de méditation, sa main gauche tenant un lotus blanc, symbole de pureté et de compassion. Ses sept yeux (visibles sur la paume des mains, la plante des pieds et le front) symbolisent la vigilance de l'esprit habité par la compassion.
SOURCE
Symbolisme de Tara Verte
Sa couleur verte est celle de l'activité éveillée, de la compassion agissante. Le vert indique que Tara agit pour le bien de ceux qui la prient avec la rapidité due vent. La jambe repliée, représente la renoncement aux passions, la jambe droite à demi dépliée, montre que Tara est prête à se lever pour aller secourir les êtres... De la maindroite elle fait le moudra du don, signifiant qu'elle accorde les accomplissements ordinaires (les pouvoirs supra normaux) et sublime (la réalisation de la nature de l'esprit). Sa main gauche accomplit le moudra du refuge : son pouce et son annulaire se touchent pour symboliser l'union des moyens habiles et de la connaissance; ses trois autres doigts sont dressés et représente les Trois Joyaux : le Bouddha, le dharma et la sangha. Les lotus dont elle tient les tiges dans les mains indique que toutes les qualités de la réalisation se sont pleinement épanouies en elle. Son charme et sa beauté révèlent qu'elle est la mère de tous les bouddhas et possède une compassion ininterrompus pour tous les êtres. Les ornements (soieries et joyaux) qu'elle porte témoignent de sa maîtrise des qualités et des actes. Par son dos droit, elle montre que sa méditation est semblable au diamant qui ne vacille jamais. La lune derrière elle symbolise la plénitude de la félicité inépuisable. Il est dit traditionnellement que Tara protège contre les huit grandes peurs, ou huit grands dangers : les éléphants, les lions, les serpents, le feu, l'eau, les voleurs, les fers (l'emprisonnement) et les démons.... Les huit grandes peurs connaissent une autre interprétations. Si dans le premier cas, elles se réfèrent à des dangers survenant physiquement dans notre existence, dans le second cas, elles désignent les facteurs perturbateurs de notre esprit, qui constituent un danger majeur dans la mesure où, nous conduisant à accomplir des actes négatifs, ils sont la cause, par le résultat karmique de ces actes, de toutes nos souffrances à venir.
- les éléphants = l'aveuglement
- les lions = l'orgueil
- le feu = la colère
- les serpents venimeux = la jalousie
- les voleurs = les philosophies erronées
- l'emprisonnement = l'avarice
- l'eau = le désir et l'attachement
- les démons = les doutes
Source "Tara - Le Divin au féminin" Bokar Rimpotché - Edition Claire Lumière
Tara Blanche (Sanskrit : Sitatara; Tibétain : Dölma Dolkar) est une des déités le plus plus populaires au Tibet. Associée à la longévité, elle incarne l'aspect féminin de la compassion de tous les Bouddhas. Tara Blanche serait, selon la tradition Tibétaine, née d'une fleur de Lotus provenant d'une larme versée par Avalokiteshvara (Tibétain : Chenrezig), le Bodhisattva de la Grande Compassion, dont elle serait une émanation. Le nom de "Tara" signifie "Etoile", qui est interprété comme "celle qui aide à traverser l'océan du Samsara", la salvatrice, la libératrice. Tara vole au secours de tous ceux qui l'invoquent dans l'adversité et la détresse. Il existe 21 formes principales de Tara qui se distinguent par la couleur, la posture et les attributs que chaque tara porte dans ses mains. Tara Verte serait la Tara originelle d'où proviendraient toutes les autres, dont Tara Blanche.
Tara Blanche est invoquée pour obtenir une longue vie et accroître ses mérites et sa sagesse. On la représente assise dans la posture de méditation, sa main gauche tenant un lotus blanc, symbole de pureté et de compassion. Ses sept yeux (visibles sur la paume des mains, la plante des pieds et le front) symbolisent la vigilance de l'esprit habité par la compassion.
SOURCE
Le Japon
IZANAMI épouse de IZANAGI avec qui elle consolida la Terre encore liquide. Ils choisirent l'île d'Onokoro, dernière goutte tombée et coagulée, pour s'unir et donner naissance à toutes les autres îles du Japon, puis au dieu du Vent, de la Montagne, etc. et enfin au dieu du Feu. Celui-ci, en naissant brûla sa mère qui mourut. Éplorée AZANAGI descendit la chercher aux Enfers. Mais, ayant goûté au breuvage infernal, elle refusa de le suivre.
*AMATERASU, déesse du Soleil, fille aînée d'AZANAGI et AZANAMI, est la Grande déesse du Japon, l'ancêtre de la famille impériale. Elle est née quand le dieu Izanagi, se purifiant de son voyage aux Enfers, se lava œil gauche dans l'eau de la Mer (de œil droit naquit TSUHIYOMI, la lune). Elle reçut de lui le royaume du Ciel, avec un collier de pierreries.Un jour, terrorisée par son frère, dieu de la Mer, elle se cacha dans une grotte, plongeant l'Univers dans la désolation. les dieux s'unirent pour la faire sortir par ruse. Faisant chanter un coq, ils se mirent à rire et à danser. Curieuse, elle regarda par une fente, devant laquelle ils avaient placé un miroir. Aussitôt, un rayon éblouissant lui fut réfléchi : elle crut que les dieux avaient trouvé un autre Soleil et furieuse, sortit. AMA-NO-UZUME, déesse de l'Aube. ÔGETSU-HIME-NO-KAMI, déesse de la Nourriture.
*AMATERASU, déesse du Soleil, fille aînée d'AZANAGI et AZANAMI, est la Grande déesse du Japon, l'ancêtre de la famille impériale. Elle est née quand le dieu Izanagi, se purifiant de son voyage aux Enfers, se lava œil gauche dans l'eau de la Mer (de œil droit naquit TSUHIYOMI, la lune). Elle reçut de lui le royaume du Ciel, avec un collier de pierreries.Un jour, terrorisée par son frère, dieu de la Mer, elle se cacha dans une grotte, plongeant l'Univers dans la désolation. les dieux s'unirent pour la faire sortir par ruse. Faisant chanter un coq, ils se mirent à rire et à danser. Curieuse, elle regarda par une fente, devant laquelle ils avaient placé un miroir. Aussitôt, un rayon éblouissant lui fut réfléchi : elle crut que les dieux avaient trouvé un autre Soleil et furieuse, sortit. AMA-NO-UZUME, déesse de l'Aube. ÔGETSU-HIME-NO-KAMI, déesse de la Nourriture.